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Tribus, 6.1956

Bibliographische Daten

Zeitschrift

Strukturtyp:
Zeitschrift
Werks-URN (URL):
https://digi.evifa.de/viewer/resolver?urn=urn:nbn:de:kobv:11-d-4752533
URN:
urn:nbn:de:kobv:11-d-4752533
Persistenter Identifier:
BV044415258
Titel:
Tribus
ISSN:
0082-6413
Erscheinungsort:
Stuttgart
Verlag:
Linden-Museum
Erscheinungsjahr:
1953
Sammlung:
Zeitschriften und Zeitungen > Zeitschriften zur Ethnologie
Wissensgebiet:
Sozial- und Kulturanthropologie > Allgemeines

Zeitschriftenband

Strukturtyp:
Zeitschriftenband
Werks-URN (URL):
https://digi.evifa.de/viewer/resolver?urn=urn:nbn:de:kobv:11-d-4750529
URN:
urn:nbn:de:kobv:11-d-4750529
Persistenter Identifier:
1512378086565
Titel:
Tribus, 6.1956
Erscheinungsjahr:
1956
Signatur:
LA 6621
Sammlung:
Zeitschriften und Zeitungen > Zeitschriften zur Ethnologie

Zeitschriftenheft

Strukturtyp:
Zeitschriftenheft
Titel:
N. F. Bd. 6, 1956
Sammlung:
Zeitschriften und Zeitungen > Zeitschriften zur Ethnologie

Inhaltsverzeichnis

Inhaltsverzeichnis

  • Tribus
  • Tribus, 6.1956
  • Vorderer Einband
  • Vorderer Buchspiegel
  • Vorblatt
  • Titelseite
  • Impressum
  • Inhaltsverzeichnis: Inhaltsübersicht
  • Zeitschriftenheft: N. F. Bd. 6, 1956
  • Hinterer Buchspiegel
  • Hinterer Einband
  • Farbkeil

Volltext

Françoise Girard, Paris 
UN THÉÂTRE DE MARIONNETTES AUX NOUVELLES-HÉBRIDES; 
SON IMPORTANCE RELIGIEUSE 
Ne trouverait-on pas aux Nouvelles Hébrides une des formes les plus archaïques 
de théâtre de marionnettes? 
Il y a, en effet, ou plus exactement il y avait — car il semble bien qu’elles 
appartiennent maintenant au passé comme tant de traits de culture de cette société 
néolithique — des petites poupées sculptées. Ces figurines, tantôt simples visages, 
tantôt petits personnages, apparaissent dans une représentation et jouent un rôle. 
On sait malheureusement très peu de chose sur ces marionnettes; elles servaient 
en effet pour des cérémonies extrêmement secrètes que l’on cachait soigneusement 
aux Européens. Speiser 1 ) note leur existence, mais c’est Deacon qui, le premier, a 
eu conscience de leur importance et les a situées dans leur cadre. La documen 
tation qu’il a pu recueillir à Seniang, district sud de Malekula, est malheureuse 
ment très fragmentaire, les cérémonies ayant cessé d’être exécutées au début du 
siècle et les personnes qui avaient été initiées à leurs mystères refusant d’en parler. 
* 
Comme la plupart des sculptures de Malekula, ces petites marionnettes sont en 
matière extrêmement friable. Le relief de leur visage est modelé dans une pâte — 
composée de fibres et de résine — appliquée sur un bouchon de feuilles, une noix 
de coco ou du tapa. Elles sont recouvertes de couleurs, aux dominantes brunes, 
blanches et noires, qui dessinent sur le visage et le corps des motifs analogues à 
ceux qu’hommes et femmes portent pour assister à certaines cérémonies et qui in 
diquent le rang et le rôle de chacun. 
Il existe plusieurs types de marionnettes. Les plus répandues sont de simples 
têtes enfilées en travers d’un bambou ou fixées à l’extrémité d’une mince baguette 
(cf. phot. 2 et 6). Le visage, souvent surmonté d’une touffe de cheveux ou 
d’un turban d’écorce, a des traits prononcés: arcades sourcilières puissantes, large 
nez proéminent, grande bouche; une petite dent de porc fréquemment placée à la 
commissure des lèvres se rabat sur les joues; étonnamment variées et expressives, 
très drôles souvent, ces petites figurines font instinctivement penser à nos person 
nages de guignol 2 ) (cf. phot. 1 et 5). 
On ajoute parfois à ces petites têtes des épaules qui supportent les membres 
supérieurs (cf. phot. 3), mais il y a aussi de vraies petites poupées avec 
bras et jambes, des mains aux doigts écartés, des pieds bien dessinés et presque 
toujours représentées en position assise (cf. phot. 4). Deacon signale en 
core de grands mannequins de taille humaine. Taillés dans un tronc de fougère 
arborescente, ils étaient très analogues aux Rambaram; ces effigies mortuaires 
surmontées du crâne même du défunt, exécutées pour représenter après leur mort
	        

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“Tribus, 6.1956.” N.p., 1956. Print.
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