Anthropos: Anthropos, 68.1973

Bibliographische Daten

Zeitschrift

Strukturtyp:: Zeitschrift

Werks-URN (URL):: https://digi.evifa.de/viewer/resolver?urn=urn:nbn:de:kobv:11-d-4754913

URN:: urn:nbn:de:kobv:11-d-4754913

Persistenter Identifier:: BV043334262

Titel:: Anthropos

Erscheinungsort:: Fribourg

Verlag:: Ed. St. Paul

Erscheinungsjahr:: 1906

Sammlung:: Zeitschriften und Zeitungen > Zeitschriften zur Ethnologie

Wissensgebiet:: Sozial- und Kulturanthropologie > Allgemeines

Zeitschriftenband

Strukturtyp:: Zeitschriftenband

Werks-URN (URL):: https://digi.evifa.de/viewer/resolver?urn=urn:nbn:de:kobv:11-d-4748065

URN:: urn:nbn:de:kobv:11-d-4748065

Persistenter Identifier:: 1510645196388

Titel:: Anthropos, 68.1973

Erscheinungsjahr:: 1973

Signatur:: LA 1118

Sammlung:: Zeitschriften und Zeitungen > Zeitschriften zur Ethnologie

Zeitschriftenheft

Strukturtyp:: Zeitschriftenheft

Titel:: Bd. 68, 1973, Heft 5-6

Sammlung:: Zeitschriften und Zeitungen > Zeitschriften zur Ethnologie

Zeitschriftenartikel

Strukturtyp:: Zeitschriftenartikel

Titel:: Les idéophones du lontómbá (Rép. du Zaire)

Sonstige Person:: Mamet, Maurice

Sammlung:: Zeitschriften und Zeitungen > Zeitschriften zur Ethnologie

Les idéophones du lontomba (Rép. du Zaïre) Maurice Mamet Sommaire: I. Fonctions des idéophones en lontomba II. Idéophones correspondant à la forme première du verbe III. Idéophones jumelés IV. Idéophones à radical allongé d’une consonne encadrée de deux voyelles identiques V. Idéophones correspondant aux verbes à forme causative en ia et forme passive en ama, ema, sms VI. Idéophones correspondant aux verbes réversifs ou intensifs en ola (oh), ona (ono) et à la forme passive en wa VII. Idéophones correspondant aux verbes intransitifs terminés en tana (tsns, tono), yana (y sus, y ono), hana et ala (sis, olo) VIII. Idéophones correspondant aux verbes intransitifs terminés en bana, ima, uma IX. Idéophones redoublés X. Liste des idéophones du lontomba La légende veut qu’au cours des vicissitudes de leurs migrations devant l’invasion des Nkundo les Ntomba aient perdu leur organisation ancestrale. Etant venus s’installer à Nkolo au sud du Lac Tumba ils décidèrent d’aller au ciel rechercher le pouvoir et les connaissances perdues. On fabriqua un immense échafaudage ayant comme base un arbre géant qui existerait d’ailleurs toujours. Avec force piquets et lianes on éleva une vraie tour de Babel mais, un beau jour, la tour s’effondra lors d’une tempête et précipita tout le monde aux quatre coins de la région. C’est ainsi que s’effectua l’occupation du Lac Tumba, de son vrai nom Mai-ma-Ntomba, l’eau des Ntomba. C’est, finalement, un étranger, venu on ne sait d’où, du ciel disent certains, qui rétablit le pouvoir des nkumu, chefs politiques, dans la tribu. Quant à la scission entre les deux branches de la tribu, elle survint à la suite de la fameuse «Guerre du Chien» provoquée par une ruse des Bolia pour se débarrasser de leurs envahisseurs ntomba. Les Ntomba-Njale allèrent s’installer au Lac Léopold II, rebaptisé récemment Mai-Ndombe. Leur langue

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